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Les traitements locaux, infiltrations

Liste non exhaustive des gestes infiltratifs pratiqués dans notre centre. Vous pouvez ainsi cliquer sur celui dont vous allez éventuellement bénéficier pour en savoir plus sur les modalités du geste.
traitements locaux et infiltrations

Les infiltrations en détails :

Infiltration épidurale

 

Il s’agit d’une infiltration locale de corticoïde. Le point d’injection se situe entre deux vertèbres lombaires jusqu’à l’espace épidural, zone qui entoure un sac contenant les racines nerveuses.
Cette infiltration est réalisée communément en position assise. Après désinfection locale en 5 temps (produits d’asepsie adaptés aux éventuels antécédents allergiques de chaque patient), le positionnement de l’aiguille dans l’espace épidural permet d’y faire diffuser un corticoïde local qui a pour avantage une meilleure efficacité que le traitement oral et un faible passage systémique.
Ce geste est en général peu douloureux et très bien toléré. Il peut être renouvelé de façon rapprochée pour en améliorer l’efficacité.
Il permet en général de diminuer la douleur en quelques jours.

Après chaque geste infiltratif, nous recommandons systématiquement :

  • Un repos relatif de 48 heures au décours du geste pour en optimiser l’efficacité : au mieux repos au domicile en évitant les activités physiques,
  • Une surveillance glycémique rapprochée chez les patients diabétiques.

Nous vous rappelons les effets indésirables rares mais possibles de ce geste infiltratif :

  • La survenue d’un malaise vagal au moment de l’infiltration ou dans les suites immédiates : le plus souvent bénin et rapidement résolutif. Il se traduit par des sueurs profuses associées à une baisse de tension, voire une perte de connaissance brève. Le simple repos avec les jambes surélevées suffit à améliorer les symptômes ressentis.
  • Le syndrome post ponction lombaire qui est la conséquence d’une petite brèche dans le sac dural. Il se manifeste par des nausées et maux de tête en position assise et debout, et disparaissant habituellement en position couchée. Il est alors conseillé de se reposer au maximum en position couchée sans oreiller, de boire beaucoup d’eau, voire de prendre un antalgique simple. La symptomatologie est le plus souvent résolutive en 24 ou 48H. Si elle persistait pendant plusieurs jours, rappelez votre médecin.
  • L’infection : rare, elle doit toujours être suspectée en cas de survenue de fièvre dans les suites du geste.
  • La survenue d’une thrombophlébite cérébrale, d’un hématome épidural ou d’un infarctus de la moelle : complications neurologiques exceptionnelles mais graves (pouvant être responsables de paralysie).

Dans tous les cas, si vous avez un doute, n’hésitez pas à contacter votre médecin.

Infiltration du hiatus sacro coccygien

 

Il s’agit d’une infiltration locale de corticoïde.
Le point d’injection se situe entre le sacrum et le coccyx, et permet d’atteindre, en inclinant l’aiguille vers le haut, l’espace épidural, zone qui entoure un sac contenant les racines nerveuses.
Cette infiltration est réalisée communément en position allongée sur le ventre. Après désinfection locale en 5 temps (produits d’asepsie adaptés aux éventuels antécédents allergiques de chaque patient), le positionnement de l’aiguille dans l’espace épidural permet d’y faire diffuser un corticoïde local qui a pour avantage une meilleure efficacité que le traitement oral et un faible passage systémique.
Ce geste est en général peu douloureux et très bien toléré. Il peut être renouvelé de façon rapprochée pour en améliorer l’efficacité.
Il permet en général de diminuer la douleur en quelques jours.

Après chaque geste infiltratif, nous recommandons systématiquement :

  • Un repos relatif de 48 heures au décours du geste pour en optimiser l’efficacité : au mieux repos au domicile en évitant les activités physiques,
  • Une surveillance glycémique rapprochée chez les patients diabétiques.

Nous vous rappelons les effets indésirables rares mais possibles de ce geste infiltratif :

  • La survenue d’un malaise vagal au moment de l’infiltration ou dans les suites immédiates : le plus souvent bénin et rapidement résolutif. Il se traduit par des sueurs profuses associées à une baisse de tension, voire une perte de connaissance brève. Le simple repos avec les jambes surélevées suffit à améliorer les symptômes ressentis.
  • L’infection : rare, elle doit toujours être suspectée en cas de survenue de fièvre dans les suites du geste.
  • La survenue d’un hématome épidural ou d’un infarctus de la moelle : complications neurologiques exceptionnelles mais graves (pouvant être responsables de paralysie).

Dans tous les cas, si vous avez un doute, n’hésitez pas à contacter votre médecin.

Infiltration du canal carpien / canal de guyon

 

Il s’agit d’une infiltration locale de corticoïde.
Le point d’injection se situe sur la face antérieure du poignet. Il est repéré soit cliniquement, soit à l’aide de l’échographie.
Cette infiltration est réalisée communément en position assise, la main à infiltrer reposant sur la table.
Après désinfection locale en 5 temps (produits d’asepsie adaptés aux éventuels antécédents allergiques de chaque patient), la pointe de l’aiguille est amenée au plus proche du nerf responsable de la symptomatologie douloureuse, ce qui permet d’y faire diffuser un corticoïde local qui a pour avantage une meilleure efficacité que le traitement oral et un faible passage systémique.
Ce geste est en général peu douloureux et très bien toléré.
Il permet en général de diminuer la douleur en quelques jours.

Après chaque geste infiltratif, nous recommandons systématiquement :

  • Un repos relatif de 48 heures au décours du geste pour en optimiser l’efficacité : au mieux repos au domicile en évitant les activités physiques,
  • Une surveillance glycémique rapprochée chez les patients diabétiques.

Nous vous rappelons les effets indésirables rares mais possibles de ce geste infiltratif :

  • La survenue d’un malaise vagal au moment de l’infiltration ou dans les suites immédiates : le plus souvent bénin et rapidement résolutif. Il se traduit par des sueurs profuses associées à une baisse de tension, voire une perte de connaissance brève. Le simple repos avec les jambes surélevées suffit à améliorer les symptômes ressentis.
  • L’infection : rare, elle doit toujours être suspectée en cas de survenue de fièvre dans les suites du geste.
  • La sclérose sous cutanée (rare).

Dans tous les cas, si vous avez un doute, n’hésitez pas à contacter votre médecin.

Infiltration de l’émergence du nerf d’Arnold

 

Il s’agit d’une infiltration locale de corticoïde.
Le point d’injection se situe en regard de la zone douloureuse, sur l’occiput (bosse sur la partie postéro inférieure du crâne). Il est repéré soit cliniquement.
Cette infiltration est réalisée communément en position assise.

Après désinfection locale en 5 temps (produits d’asepsie adaptés aux éventuels antécédents allergiques de chaque patient), la pointe de l’aiguille est amenée au plus proche de l’émergence du nerf d’Arnold responsable de la symptomatologie douloureuse, ce qui permet d’y faire diffuser un corticoïde local qui a pour avantage une meilleure efficacité que le traitement oral et un faible passage systémique.
Ce geste est en général peu douloureux et très bien toléré.
Il permet en général de diminuer la douleur en quelques jours.

Après chaque geste infiltratif, nous recommandons systématiquement :

  • Un repos relatif de 48 heures au décours du geste pour en optimiser l’efficacité : au mieux repos au domicile en évitant les activités physiques,
  • Une surveillance glycémique rapprochée chez les patients diabétiques.

Nous vous rappelons les effets indésirables rares mais possibles de ce geste infiltratif :

  • La survenue d’un malaise vagal au moment de l’infiltration ou dans les suites immédiates : le plus souvent bénin et rapidement résolutif. Il se traduit par des sueurs profuses associées à une baisse de tension, voire une perte de connaissance brève. Le simple repos avec les jambes surélevées suffit à améliorer les symptômes ressentis.
  • L’infection : rare, elle doit toujours être suspectée en cas de survenue de fièvre dans les suites du geste.
  • La sclérose sous cutanée (rare).

Dans tous les cas, si vous avez un doute, n’hésitez pas à contacter votre médecin.

Infiltration d’une tendinite du moyen fessier

 

Il s’agit d’une infiltration locale de corticoïde.
Le point d’injection se situe sur la partie haute et latérale de la cuisse. Il est repéré soit cliniquement, soit à l’aide de l’échographie.
Cette infiltration est réalisée communément en position allongée, sur le côté non douloureux. Après désinfection locale en 5 temps (produits d’asepsie adaptés aux éventuels antécédents allergiques de chaque patient), la pointe de l’aiguille est amenée au plus proche de l’insertion du tendon du moyen fessier, au contact de la zone douloureuse, avant d’y faire diffuser un corticoïde local qui a pour avantage une meilleure efficacité que le traitement oral et un faible passage systémique.
Ce geste est en général peu douloureux et très bien toléré, et peut être associé à une petite anesthésie locale préalable si nécessaire.
Il permet en général de diminuer la douleur en quelques jours.

Après chaque geste infiltratif, nous recommandons systématiquement :

  • Un repos relatif de 48 heures au décours du geste pour en optimiser l’efficacité : au mieux repos au domicile en évitant les activités physiques,
  • Une surveillance glycémique rapprochée chez les patients diabétiques.

Nous vous rappelons les effets indésirables rares mais possibles de ce geste infiltratif :

  • La survenue d’un malaise vagal au moment de l’infiltration ou dans les suites immédiates : le plus souvent bénin et rapidement résolutif. Il se traduit par des sueurs profuses associées à une baisse de tension, voire une perte de connaissance brève. Le simple repos avec les jambes surélevées suffit à améliorer les symptômes ressentis.
  • L’infection : rare, elle doit toujours être suspectée en cas de survenue de fièvre dans les suites du geste.
  • La survenue d’un hématome au point d’injection (rare).
  • Le risque de fissure tendineuse (rare également).

Dans tous les cas, si vous avez un doute, n’hésitez pas à contacter votre médecin.

Infiltration d’une bursite sous acromiodeltoïdienne (épaule)

 

Il s’agit d’une infiltration locale de corticoïde.
Le point d’injection se situe sous l’acromion, situé sur la partie haute de l’épaule.
La bursite est accessible en suivant le bord inférieur de l’acromion.
On peut également facilement la repérer à l’aide de l’échographie.
Le point d’injection peut donc être repéré soit cliniquement, soit échographiquement.
Cette infiltration est réalisée communément en position assise, les bras le long du corps, les mains posées sur les cuisses.

Après désinfection locale en 5 temps (produits d’asepsie adaptés aux éventuels antécédents allergiques de chaque patient), la pointe de l’aiguille est amenée dans la bourse, avant d’y faire diffuser un corticoïde local qui a pour avantage une meilleure efficacité que le traitement oral et un faible passage systémique.
Ce geste est en général peu douloureux et très bien toléré.
Il permet en général de diminuer la douleur en quelques jours.

Après chaque geste infiltratif, nous recommandons systématiquement :

  • Un repos relatif de 48 heures au décours du geste pour en optimiser l’efficacité : au mieux repos au domicile en évitant les activités physiques,
  • Une surveillance glycémique rapprochée chez les patients diabétiques.

Nous vous rappelons les effets indésirables rares mais possibles de ce geste infiltratif :

  • La survenue d’un malaise vagal au moment de l’infiltration ou dans les suites immédiates : le plus souvent bénin et rapidement résolutif. Il se traduit par des sueurs profuses associées à une baisse de tension, voire une perte de connaissance brève. Le simple repos avec les jambes surélevées suffit à améliorer les symptômes ressentis.
  • L’infection : rare, elle doit toujours être suspectée en cas de survenue de fièvre dans les suites du geste.
  • La sclérose sous cutanée (rare).

Dans tous les cas, si vous avez un doute, n’hésitez pas à contacter votre médecin.

 

Infiltration d’une épicondylite au coude

 

Il s’agit d’une infiltration locale de corticoïde.
Le point d’injection se situe sur la partie latérale du coude, en regard de la zone douloureuse. Il est repéré soit cliniquement, soit à l’aide de l’échographie.
Cette infiltration est réalisée communément en position assise, coude posé sur la table. Après désinfection locale en 5 temps (produits d’asepsie adaptés aux éventuels antécédents allergiques de chaque patient), la pointe de l’aiguille est amenée au plus proche de l’insertion du tendon du moyen fessier, au contact de la zone douloureuse, avant d’y faire diffuser un corticoïde local qui a pour avantage une meilleure efficacité que le traitement oral et un faible passage systémique.
Ce geste est en général peu douloureux et très bien toléré, et peut être associé à une petite anesthésie locale préalable si nécessaire.
Il permet en général de diminuer la douleur en quelques jours.

Après chaque geste infiltratif, nous recommandons systématiquement :

  • Un repos relatif de 48 heures au décours du geste pour en optimiser l’efficacité : au mieux repos au domicile en évitant les activités physiques,
  • Une surveillance glycémique rapprochée chez les patients diabétiques.

Nous vous rappelons les effets indésirables rares mais possibles de ce geste infiltratif :

  • La survenue d’un malaise vagal au moment de l’infiltration ou dans les suites immédiates : le plus souvent bénin et rapidement résolutif. Il se traduit par des sueurs profuses associées à une baisse de tension, voire une perte de connaissance brève. Le simple repos avec les jambes surélevées suffit à améliorer les symptômes ressentis.
  • L’infection : rare, elle doit toujours être suspectée en cas de survenue de fièvre dans les suites du geste.
  • La survenue d’un hématome au point d’injection (rare)
  • Le risque de fissure tendineuse (rare également).

Dans tous les cas, si vous avez un doute, n’hésitez pas à contacter votre médecin.

Infiltration articulaire de l’épaule (gléno-humérale)

 

Il s’agit d’une infiltration intra articulaire de corticoïde.
Cette articulation gléno humérale peut être atteinte par plusieurs voies d’abord.
Le point d’injection se situe habituellement sur la partie antérieure de l’épaule.
Il est repéré soit cliniquement, soit à l’aide d’un appareil de scopie.

Cette infiltration est réalisée communément en position assise, le dos de la main reposant sur la cuisse, bras le long du corps.
Après désinfection locale en 5 temps (produits d’asepsie adaptés aux éventuels antécédents allergiques de chaque patient), la pointe de l’aiguille est amenée jusqu’à la cavité articulaire.
En cas d’utilisation de l’appareil de scopie, un produit de contraste est injecté une fois l’aiguille positionnée pour confirmer sa bonne position dans la cavité articulaire, avant d’y faire diffuser un corticoïde local qui a pour avantage une meilleure efficacité que le traitement oral et un faible passage systémique.
Ce geste est en général peu douloureux et très bien toléré, et peut être associé à une petite anesthésie locale préalable si nécessaire.
Il permet en général de diminuer la douleur en quelques jours.

Après chaque geste infiltratif, nous recommandons systématiquement :

  • Un repos relatif de 48 heures au décours du geste pour en optimiser l’efficacité : au mieux repos au domicile en évitant les activités physiques,
  • Une surveillance glycémique rapprochée chez les patients diabétiques.

Nous vous rappelons les effets indésirables rares mais possibles de ce geste infiltratif :

  • La survenue d’un malaise vagal au moment de l’infiltration ou dans les suites immédiates : le plus souvent bénin et rapidement résolutif. Il se traduit par des sueurs profuses associées à une baisse de tension, voire une perte de connaissance brève. Le simple repos avec les jambes surélevées suffit à améliorer les symptômes ressentis.
  • L’infection : rare, elle doit toujours être suspectée en cas de survenue de fièvre dans les suites du geste.
  • La survenue d’un hématome au point d’injection (rare).

Dans tous les cas, si vous avez un doute, n’hésitez pas à contacter votre médecin.

Infiltration articulaire du genou (intra-articulaire ou kyste poplité)

 

Il s’agit d’une infiltration locale de corticoïde.

Pour l’infiltration intra articulaire, le point d’injection se situe sur la partie externe du genou, environ 1 cm au-dessus de la rotule. Il est repéré soit cliniquement.
Cette infiltration est réalisée communément en position allongée, sur la table d’examen, jambe tendue.

Pour l’infiltration d’un kyste poplité, le point d’injection se situe sur la partie postérieure du genou, dans le creux poplité. Il est repéré soit cliniquement soit à l’aide de l’appareil d’échographie (suivant sa taille).
Cette infiltration est réalisée communément en position allongée, sur la table d’examen, sur le ventre ou sur le côté.

Après désinfection locale en 5 temps (produits d’asepsie adaptés aux éventuels antécédents allergiques de chaque patient), la pointe de l’aiguille est positionnée dans la zone cible (cavité articulaire ou kyste) avant d’y faire diffuser un corticoïde local qui a pour avantage une meilleure efficacité que le traitement oral et un faible passage systémique.

Ce geste est en général peu douloureux et très bien toléré, et peut être associé à une petite anesthésie locale préalable si nécessaire.
Il permet en général de diminuer la douleur en quelques jours.

Après chaque geste infiltratif, nous recommandons systématiquement :

  • Un repos relatif de 48 heures au décours du geste pour en optimiser l’efficacité : au mieux repos au domicile en évitant les activités physiques,
  • Une surveillance glycémique rapprochée chez les patients diabétiques.

Nous vous rappelons les effets indésirables rares mais possibles de ce geste infiltratif :

  • La survenue d’un malaise vagal au moment de l’infiltration ou dans les suites immédiates : le plus souvent bénin et rapidement résolutif. Il se traduit par des sueurs profuses associées à une baisse de tension, voire une perte de connaissance brève. Le simple repos avec les jambes surélevées suffit à améliorer les symptômes ressentis.
  • L’infection : rare, elle doit toujours être suspectée en cas de survenue de fièvre dans les suites du geste.
  • La survenue d’un hématome au point d’injection (rare).

Dans tous les cas, si vous avez un doute, n’hésitez pas à contacter votre médecin.

Infiltration du pied et de la cheville (articulaire, tendineuse, bursite, névrome de Morton, talalgie plantaire sur épine calcanéenne)

 

Il s’agit d’une infiltration locale de corticoïde.
Le point d’injection dépend de la cible et peut être repéré soit cliniquement, soit à l’aide de l’échographie, soit à l’aide d’un appareil de scopie (radiographie).

Après désinfection locale en 5 temps (produits d’asepsie adaptés aux éventuels antécédents allergiques de chaque patient), la pointe de l’aiguille est amenée au plus proche de la zone cible avant d’y faire diffuser un corticoïde local qui a pour avantage une meilleure efficacité que le traitement oral et un faible passage systémique.

Ce geste est en général peu douloureux et très bien toléré, et peut être associé à une petite anesthésie locale préalable si nécessaire.
Il permet en général de diminuer la douleur en quelques jours.

Après chaque geste infiltratif, nous recommandons systématiquement :

  • Un repos relatif de 48 heures au décours du geste pour en optimiser l’efficacité : au mieux repos au domicile en évitant les activités physiques,
  • Une surveillance glycémique rapprochée chez les patients diabétiques.

Nous vous rappelons les effets indésirables rares mais possibles de ce geste infiltratif :

  • La survenue d’un malaise vagal au moment de l’infiltration ou dans les suites immédiates : le plus souvent bénin et rapidement résolutif. Il se traduit par des sueurs profuses associées à une baisse de tension, voire une perte de connaissance brève. Le simple repos avec les jambes surélevées suffit à améliorer les symptômes ressentis.
  • L’infection : rare, elle doit toujours être suspectée en cas de survenue de fièvre dans les suites du geste.
  • La survenue d’un hématome au point d’injection (rare)
  • Le risque de fissure tendineuse (rare également).

Dans tous les cas, si vous avez un doute, n’hésitez pas à contacter votre médecin.

 

Informations pratiques

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